C'est en allant voir mes poules, qu'en traversant la pelouse, mon œil fut attiré par un ruban dans l'herbe.
Mais en y regardant d'un peu plus prés, je me suis aperçu qu'il s’agissait de chenilles processionnaires du pin.

En effet, il en restait un nid dans mes pins que je n'avais pas réussi à détruire au début de l'hiver.
Au printemps, ces chenilles, conduite par une femelle, quittent les arbres pour aller s'enfouir dans le sol à quelques centimètres sous terre dans un endroit bien ensoleillé.
Comme nous avons eu quelques rayons de soleil en début d’après midi, elles avaient donc décidé d'entreprendre leur périple vers le milieu de la pelouse. Les processions peuvent se déplacer jusqu'à 40 mètres.

Je garde un bien mauvais souvenir de ces petites bêtes, car lors d'une course d'orientation, en traversant une pinède, une chenille était tombée dans mon dos me provoquant de fortes irritations. Difficile de bien se concentrer sur la fin du parcours après cette rencontre.

 La première colonne.

Femelle conduisant la tête de la colonne.

Une deuxième colonne à l'arrêt.

Les premières devaient commencer l'enfouissement dans le sol.

Pour en savoir un peu plus sur ces méchantes bestioles : le site de France Chenilles.

Depuis plusieurs jours, lorsque je viens dans ma véranda je vois un pic-vert s'envoler de la pelouse.

Un matin, j'ai donc laissé les lames des stores légèrement entrouvertes pour le photographier.
Je suis donc rentré le plus discrètement possible et juste le temps de prendre deux ou trois photos avant qu'il ne m'aperçoive et s'envole aussitôt .

Et voilà, j'ai voulu changer de position ... un coup d’œil ... et au revoir !!!!

Les photos ne sont pas très nettes en raison de la vitre, et mon objectif est assez limité pour ce genre de photo.

Chaque matin, je peux observer un bel arbre à l'horizon car souvent il est éclairé par le levé du soleil.

Mais vendredi matin, il était bien triste mon arbre, je le distinguais à peine derrière un rideau de brume assez épais.

Depuis l'arrivée du printemps, il est difficile d’apercevoir le soleil sur le Lochois.
Ce soir, les rayons du soleil avaient beaucoup de peine pour traverser les nuages.

Lors d'une promenade dans la forêt de loches pour essayer de photographier des oiseaux, j'ai de nouveau rencontré un ancien tronc probablement frappé par la foudre il y a de nombreuses années. De loin, ce tronc n'a vraiment rien d’extraordinaire et les promeneurs devaient bien se demander pourquoi je le photographiais.

mais en me concentrant sur le sommet, je voulais encore y voir une drôle de créature ... Ah, cette Forêt de Loches.
Pour ceux qui connaissent la Forêt, le tronc se situe aux Pas aux Ânes !!!

Voici cette petite mésange qui jouait avec moi en passant d'un toit à l'autre ou d'un versant à l'autre. En revanche, je n'arrive pas à distinguer s'il s'agit d'une mésange noire ou d'une mésange nonnette. Sur mon petit livre, les contours des yeux sont beaucoup plus noirs. 
Comme c'était le matin, peut-être n'avait-elle pas terminé son maquillage et voila pourquoi elle ne voulait pas se laisser photographier !!!
Mais je ne doute pas que des photographes avertis sauront identifier cette petite mésange.

Merci à Pascale, cette mésange n'avait pas oublié son maquillage ... mais c'est tout simplement une bergeronnette grise ....

Alors que j'essayais de photographier une mésange qui "jouait" avec moi, mon œil fut attiré par cette lampe et plus particulièrement par son ombre ....
Je vous présenterai prochainement la petite mésange ...

Ce n'est pas encore le printemps, mais il arrive que certains pigeons coquins prennent un peu d’avance.
Ou peut-être, avaient-ils un secret à se dire, et il ne fallait pas que je l'entende ???

C'est un rentrant d'une promenade, en fin de soirée, que je me suis retrouvé face à une charmante créature. Rassurez-vous, elle n'a rien d'un monstre, bien au contraire, car c'est amusant de jouer avec son imagination dans le calme de cette magnifique forêt. J'espère seulement que cette créature ne bougera pas de son emplacement en raison des travaux forestiers et que des mousses viendront recouvrir ses longs bras ...